Même pô peur! ^^

Hey hey! Amis(es) FFRiens!

Alors que la tempête gronde en cette douce Bretagne nord, la sud est beaucoup moins bien d'abord et par d'obscures raisons propres à un plat savoyard à base de pôtates, de lard et de fromage (le tout au four et hop c'est prêt!) je me retrouve ici bas pour faire une sorte de chroniquouille à deux zorros douze! Inutile de m'assaillir de messages en tout genre me demandant le pourquoi du comment de ce topic bizarroïde, je n'y répondrai point, sauf sous la torture oeuf corse! Que voulez vous, la torture à ses raisons que seule Momi connait!

C'est donc devant les affres d'un écran vide que je me lance pour mon premier message sans queue ni tête. Et là, je me dis, dommage qu'on ne soit pas demain, parce que pour demain j'ai une idée que c'est super, mais bon nous ne sommes pas demain...Arf, c'était plus simple hier!

Il arrive parfois, dans ce monde de 1 et de 0 all around the world, que vous vous retrouviez devant un avatar.
Non, comme son nom l'indique, cette illustration n'est pas forcément la représentation de la réalité. Par exemple, je ne suis pas roux, ne dort pas sur un mur et ne miaule pas, quoique j'émette une sorte de râle de contentement lorsqu'on qu'on me caresse dans le sens du poil! Pour l'avoir vu en vrai, je vous l'assure, non, Martial n'est pas flou non plus. Bon il lui arrive parfois de manquer de pile, mais çà c'est une autre histoire!
Dans le même ordre d'idée, si au hasard de vos promenades sur la toile, vous tombez sur une blonde mimi qui semble en train de se donner à des vocalises, la main droite légèrement en opposition devant son visage afin de vivre au plus près son texte, je dis attention! Celle ci peut tout aussi bien avoir mangé un oignon cru et d'un geste leste, brasser l'air devant sa bouche pour se débarrasser d'une haleine douteuse avec la sus dites main droite! Les apparences sont trompeuses!

Comme le disait l'ami Desproges:" Quant au mois de mars, je le dis sans aucune arrière-pensées politique, çà m'étonnerait qu'il passe l'hiver."

PS: Je tiens à rassurer ma famille qui consulte parfois ce faux rhum, nan nan, je vous assure je vais trèèèès bien!

Hey hey! Amis(es) FFRiens!

Alors que la tempête fait rage sur les cotes bretonne, inutile d'ajouter que celles du nord sont sans commune mesure bien plus attractives que celles du sud, je m'apprête donc à vous coller sous le nez mon second message abracadabrantesque!
Hors donc, mes doigts boudinés mais néanmoins agiles s'engagent à sautiller joyeusement sur les touches carrés du clavier tel l'adolescent prébubère à son premier rencard avec la blonde boutonneuse à lunettes qui partage son cours de musique du collège Jules Ferry de Trifouilli les Oies, quand soudain PAF! Non, pas PAF le chien, mais PAF tudieu! Ne sommes nous pas dimanche?
Et là, problème. Ma religion m'interdit de travailler le dimanche! Etant pratiquant intégriste dans le dogme du "repousse à demain ce que que tu peux faire aujourd'hui", je ne prendrai donc pas le risque de commettre un blasphème envers la toute puissante Sainte Flegme qui protège mes jours de tout abus de travail fastidieux!
Petits veinards! Après avoir consulté les saintes écritures dans le grand livre du petit partisan du moindre effort, il apparait que je peux tout de même vous laisser une copie de chronique dans la mesure où elle n'est pas mienne!
Les fêtes de fin d'année approchant, vous aurez donc l'immense honneur de relire (ou de lire pour les incultes!) un texte du maitre Desproges du 3 février 1986.

Citation :

Bonne année mon cul (1)

Il était temps que janvier fit place à février.
Janvier est de très loin le mois le plus saumâtre, le plus grumeleux, le moins pétillant de l'année.
Les plus sous-doués d'entre vous auront remarqué que janvier débute le premier. Je veux dire que ce n'est pas moi qui ai commencé.
Et qu'est-ce que le premier janvier, sinon le jour honni entre tous où des brassées d'imbéciles joviaux se jettent sur leur téléphone pour vous rappeler l'inexorable progression de votre compte à rebours avant le départ pour le Père-Lachaise...
Dieu merci, cet hiver, afin de m'épargner au maximum les assauts grotesques de ces enthousiasmes hypocrites, j'ai modifié légèrement le message mon répondeur téléphonique. Au lieu de "Bonjour à tous", j'ai mis "Bonne année mon cul". C'est net, c'est sobre, et çà vole suffisamment bas pour que les grossiers trouve çà vulgaire.
Plus encore que les quarante-cinq précédents mois de janvier que j'ai eu le malheur de traverser par la faute de ma mère, celui-ci est à marquer d'une pierre noire. Je ne retiens pour ma part que les glauques et mornes soubresauts de l'actualité dont il fut parsemé.
C'est un avocat très mûr qui tombe, sa veuve qui descend de son petit cheval pour monter sur ses grands chevaux. La gauche est dans un cul-de-sac. Mme Villemin est dans l'impasse, tandis que, de biture en biture, les graphologues de l'affaire qui ne dessoûllent plus continuent à jouer à Pince-mi et Grégory sont dans un bateau...
Coté bouillon de culture, Francis Huster attrape Le cid avec Jean Marais.
Au Progrès de Lyon, le spécialiste des chiens écrasés et le responsable des chats noyés, apprenant qu'Hersant rachète le journal, se dominent pour ne pas faire grève.
Le 15, premier coup dur, Balavoine est mort.
Le 16, deuxième coup dur, Chantal Goya est toujours vivante. L'Espagne -- Fallait-il qu'elle fût myope -- reconnait Israel.
Le 19, on croit apercevoir mère Teresa chez Régine: C'était Bardot sous sa mantille en peau de phoque...
Le 23, il fait 9° à Massy-Palaiseau. On avait pas vu çà, un 23 janvier depuis 1936. Et je pose la question: Qu'est-ce que çà peut foutre?
Le 26, sur TF1 le roi des enfoirés dégouline de charité chrétienne dans une entreprise de restauration cardiaque pour nouveaux pauvres: heureusement, j'ai mon Alka-Seltzer.
Le 27, l'un des trois légionnaires assassins du Paris-Vintimille essaie timidement de se suicider dans sa cellule. Ses jours ne sont pas en danger. Je n'en dirais pas autant de ses nuits.
Le 29, feu d'artifice tragique à Cap-Kennedy. Bilan: 380 tonnes d'hydrogène et d'oxygène liquides bêtement gachées.
Et le soir du 31, comme tous les soirs, Joelle Kauffmann embrasse ses deux garçons. Et elle dans sa chambre. Elle est toute seule. Elle ne dort pas très bien.

Enfin voici février. Sec comme un coup de trique et glacé comme un marron. Avec son Mardi gras qui nous court sur la crèpe. C'est le mois de la saint Blaise, qui rit dans son ascèse, et de sainte Véronique, qui pleure dans les tuniques. C'est aussi le temps du carême, où les maigres chrétiens d'Ethiopie peuvent enfer jeûner la tête haute pour la seule gloire de Dieu.
Les statistiques sont irréfutables: c'est en février que les hommes s'entre-tuent le moins dans le monde; moins de tueries guerrières, moins de rixes crapuleuses, moins d'agressions nocturnes dans les rues sombres du XVIIIème, où l'insécurité est telle habituellement que les Arabes n'osent plus sortir la soir. Jusqu'au nombre des cambriolages qui diminue de 6% en février. Et tout çà, pourquoi?
Après les enquêtes scientifiques les plus poussées, les sociologues sont parvenus à cette incroyable conclusion: si les hommes font mois de conneries en février, c'est parce qu'ils n'ont que 28 jours.

Quant au mois de mars, je le dis sans aucune arrière-pensée politique, çà m'étonnerait qu'il passe l'hiver.

(1): Chroniques de la haine ordinaire. Pierre Desproges. Edition Points

Hey Hey Amis(es) FFRiens!

Alors que ce matin la grêle tombait en Bretagne nord, d'ailleurs il est de notoriété mondiale que la grêle de Bretagne nord est bien plus piquante, fraiche, ravigorante et glissante que celle de Bretagne sud, avez déjà entendu "ooooh! quelle belle grêle de Bretagne sud?" que neni, c'en est bien la preuve! Ce matin donc, n'étant pas superstitieux pour un sou bien qu'ayant passé une année 2007 passablement délicate, je me levais du bon pied, prêt à attaquer une semaine de dur labeur, me félicitant des 21 jours qu'ils restent avant 2008, heureux d'avoir fait la nique à cette fichue loi des séries!
Après tout, la tempête était passée ou presque et toutes les ardoises de mon toit étaient en place, défiant fièrement les intempéries, c'était bon signe...
Et bien non, 2007 a décidé de me pourrir la vie jusqu'au bout de ses derniers râles d'existence!
Ce n'est pas que j'aime beaucoup parler de ma petite vie, mais rien ne vaut l'exemple d'aujourd'hui pour vous faire une idée! Et encore, la journée n'est pas finie...
Après de brèves minutes entre la joyeuse sonnerie de mon troisième réveil (j'ai le sommeil lourd) la douche et la crèpe engloutie en fermant la porte d'entrée, je me jette dans ma tuture mobile, contact, reuureuuureuuuuu, re- contact, reureureuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu Pas de souci me dis-je, la rue dans laquelle j'habite est en pente, et je suis dans le bon sens. Hop, hop, hop d'une légère poussette de la jambe gauche tel l'émérite trotinetteur de patinette que je fusse dans ma tendre enfance, la tuture mobile se lance dans la pente, je saute à lintérieur, passe la seconde, relache l'embrayage, Gruuuufffff Gruuuufff Grouuuuumfff flop!
Pas de panique, petit coup de fil au taf "heuuuu, suis en rade de voiture, t'inquiètes on vient te chercher" me répond-on.
La tuture mobile se trouvant dès lors au milieu de la chaussée, un dernier effort de poussette et je la gare tranquilou. Et là, problème, l'andouille de voisin qui habite en bas de la rue à sa sortie de garage juste devant! Il y a bien une place dix mètres plus haut, mais là la pente est dans le mauvais sens! J'opte pour un passage piéton. Pas grâve je vais mettre un petit mot à l'attention de la maréchaussée. J'ai toujours un stylo ou un crayon sur moi, hasard, aujourd'hui non. Mon flegme habituel reprenant le dessus, retrouvons le collègue qui est venu me prendre, on verra bien au retour si la tuture mobile est toujours là...
Très sympa ce collègue d'être venu me prendre, m'enfin pourquoi conduit-il si vite et ne freine-t-il pas lorsqu'il passe sur des ralentisseurs dignes d'un concours hippique? Une bosse sur le crâne malgré la ceinture de sécurité, zen, j'ai la tête dure!
je vous épargne le taf, mis à par la grêle, le vent et le froid, tout c'est bien passé.
Retour chez moi en bus, j'ai le choix entre aller au garage du coin, ou me rendre au centre commercial le plus proche pour acheter une batterie de tuture mobile. Vu l'état de mes finances, j'opte pour la seconde solution.
Deux heures plus tard, je reviens avec une belle batterie flambant neuve, non sans effort d'argumentation auprès du chauffeur de bus qui ne voulait pas me laisser monter avec la dite batterie, au moins j'aurai appris quelque chose aujourd'hui, on a pas le droit de faire du transport de batterie dans les bus de l'agglomération briochine. Sait on jamais des fois qu'il me serait venu l'idée folle de faire du lancer de batterie!
Je sors les outils et m'attèle au démontage... Tiens il flotte... Mais pourquoi foutent-ils une vis là au bout alors qu'on ne peut pas faire passer la clé? hein? pourquoi? Promis, si un jour je croise M. Ford, il va m'entendre celui là!
Quelques jurons et écorchures sur mes délicates mimines plus tard, je pousse un cri de victoire, faisant retourner quelques passants au regard bovin, je suis en sueur (à moins que ce ne soit la pluie) j'ai du cambouis sur la figure (eeeet oui je fais parti de cette catégorie de personnes qui ne savent pas démonter la moindre vis innocente sans se mettre du cambouis sur le visage) et je brandis fièrement la batterie qui m'avait sournoisement abandonnée ce matin là!
Deuxième couplet, le remontage.
M'eeeennnnnfiiiiiiiin! Ce sont leeeees mêêêêêêêêêêmes, pourquooooooiiiiiii la neuve ne rentre pas?! Gné pô potib!
A cet instant critique et pour ma bonne santé mentale, il était temps de faire un interlude nicotine, je pose donc la batterie neuve sur le moteur et m'en vais travailler à mon cancer, lorsque soudain, alors qu'adossé à ma tuture mobile je me retournais nonchalemment, avec un plus bel effet genre le film Matrix, je vois cette merveilleuse batterie neuve glisser du capot vers le sol! Nooooooooooooooon.....

Actuellement interné en hôpital psychiatrique pour avoir abattu 6 chats noirs, fais tombé un peintre et un couvreur de leur échelle, pris en flagrant délit de broutage de trêfles dans le jardin publique et accessoirement mutilage de lapin, le personnel hospitalier a eu la gentillesse de me fournir un accès internet pour vous écrire ce petit message du jour.

JE HAIS 2007! QU'ON SE LE DISE!

"Quant au mois de mars, je le dis sans aucune arrière-pensées politique, çà m'étonnerait qu'il passe l'hiver."

Hey hey amis(es) FFRiens!

Alors que le soleil éclabousse la Bretagne et que l'herbe des champs verdit, je fais juste remarquer au passage, que l'herbe des champs de Bretagne nord est bien plus verte que celle de Bretagne sud! Mais si mais si mais si! Comment çà vous en doutez? C'est pourtant un des plus gros scandale de santé publique des années 90!
Tout commença donc avec l'herbe des champs de Bretagne nord, sous un climat tempéré et ensoleillé celle ci était d'une qualité exceptionnelle. Les vaches de Bretagne nord devant une telle profusion de graminées goûtues, bondissaient joyeusement dans les prés, un touriste anglo-saxon à la vue basse de passage dans le coin s'exclama même "Oh my God! Une vâche volle!"
De retour chez lui, et racontant à qui voulait l'entendre son aventure, les perfides anglais (oui je dis bien "perfides", il vous suffit pour vous en convaincre de regarder n'importe quel match de rugby France/Angleterre, suivez bien Lawrence Dalaglio, le n°8 du quinze de la rose, vous m'direz après si ce n'est pas perfide un anglais!) voulurent en faire autant afin de remonter le moral en berne de leur cheptel bovin neurasthénique. Hélas la vache dépressive anglaise supporte très mal les anti-dépresseurs, résultat PAF! On a eu le droit à la vache folle!
Quelques éleveurs de Bretagne sud ont bien tenté de relever le défi sans grande conviction, ils n'ont abouti qu'à une vache molle, le pis flasque, le beurre demi-sel tournait!

"Quant au mois de mars, je le dis sans aucune arrière-pensées politique, çà m'étonnerait qu'il passe l'hiver."

Note pour Aurélie: Meuuu non, meuuu non, meuuu non, je suis dans mon état on ne peut plus normal! Voir même un chouille fatigué!

Hey hey amis(es) FFRiens!

Alors que des ananas s'échouent par milliers sur les cotes de Bretagne nord, comme quoi même l'ananas a du goût, il préfère de loin le nord au sud, pas fou l'ananas, il me vient à l'esprit que nous sommes en pleine période de la St-Jacques (le coquillage), ni une ni deux, cadeau pour vous fidèles lecteurs!

- 12 belles coquilles Saint-Jacques
- 6 endives
- 1 pincée de sel
- 1 pincée de sucre
- 1 jus de citron
- 1 botte de coriandre fraîche
- 6 graines de cardamome vertes ou blanches
- Quelques pluches d'aneth
- 1 petit bocal d'œufs de saumon
- 25 cl de fumet de Saint-Jacques
- 10 cl de Noilly Prat
- 25 cl de crème
- 150 g de beurre
- Huile d'olive
- Sel et poivre

Préparation

1/ Ouvrez les coquilles Saint-Jacques, retirez les bardes, sortez les noix, rincez-les sous l'eau, posez-les sur un linge, gardez au frais.

2/ Coupez les pointes de deux endives, gardez les feuilles. Émincez le reste des endives en prenant soin de retirer le cœur, ajoutez une pincée de sel, de sucre, le jus de citron. Mélangez bien, cuisez dans 25 g de beurre moussant sur feu vif jusqu'à évaporation de l'eau. Lorsqu'elles sont cuites, débarrassez.

3/ Chauffez le fumet de Saint-Jacques et le Noilly Prat. Faites réduire de moitié. Ajoutez la crème, portez à ébullition, ajoutez la coriandre et la cardamome. Laissez cuire quinze minutes. Montez légèrement au beurre (environ 100 g), passez, réservez.

4/ Faites cuire les Saint-Jacques pendant trois à quatre minutes sur feu vif dans 25 g de beurre. Lorsqu'elles sont d'une jolie couleur blonde, chauffez les endives émincées et la sauce au Noilly. Dressez les endives dans un cercle et, au-dessus, posez les endives crues assaisonnées d'huile d'olive, de sel et poivre. Parsemez les œufs de saumon et quelques pluches d'aneth. Disposez trois belles noix de Saint-Jacques, saucez légèrement ou servez la sauce à part.




"Quant au mois de mars, je le dis sans aucune arrière-pensées politique, çà m'étonnerait qu'il passe l'hiver."

Hey Hey amis(es) FFRiens!

Alors que durant la nuit, la Bretagne Nord avait revêtu son plus beau manteau de givre blanc, la Sud elle attrapait un rhume. Comme d'hab, elle avait voulu faire sa coquette et était sorti en petite liquette de printemps, résultat, au plumard, le nez qui coule, quand j'vous dit qu'au nord c'est mieux!

Mes messages sans queues ni têtes touchant à leur fin, je voulais finir en beauté, et ben manque de bol, c'est la panne! Pas une once d'inspiration, pas la moindre étincelle de génie qui me caractérise tant d'habitude, aucun éclair de drôlerie, rien, nada peau d'zob!
Aujourd'hui donc, je revendiquerai le droit de ne rien écrire! Na! C'est comme çà et pis c'est tout!
Halte aux cadences infernales! Libérons le P'tit Lo oppressé!

Bon aller, soyons pô vache, pour les gratouilleux, j'vous donne l'intro d'un magnifique thème de Môôôsieur Joe Pass intitulé "Blues for Alican"



Je vous conseille de vous référer à la partition plutôt qu'à la tablature, c'est pa que cette dernière ne soit pas bonne, mais il y a d'autres doigtés possibles que je trouve plus naturels.
Pour ceux qui seraient intéressé par le relevé complet, contactez moi, je vous enverrai çà avec plaisir!

"Quant au mois de mars, je le dis sans aucune arrière-pensées politique, çà m'étonnerait qu'il passe l'hiver."

Hey hey Ami(es) FFRiens!

Alors que la banquise est en vue des cotes de Bretagne nord, offrant ainsi un superbe spectacle animalier (deux pingouins qui faisaient une blague à un ours polaire, mais bon c'est beaucoup moins drôle à raconter, c'était plus visuel, ils sont couillons ces pingouins!), la Bretagne sud en restait à l'observation des écureuils, même pô blancs en plus les z'écureuils!

Et ouep les drôles, çà caille sec! 1°C qu'ils annonçaient à la météo! Pfiouuu, -9°C ce matin! Toujours aussi fortiche la grenouille!
Sans rire, un peu de chapelure et je suis certain d'être embauché chez Findus au rayon P'tit Lo pané! Il parait que les glaces Miko recrutent aussi... Mais bon, le bâtonnet je le sens moyen!
Demain, c'est décidé, je ne la quitte plus. Elle va me garder au chaud, m'enveloppant de ses caresses ouatées, reniflant bon le parfum printanier. Au diable ma timidité et crions le au monde entier: Ma couette, je t'aime! Vivement ce soir qu'on se couche!

"Quant au mois de mars, je le dis sans aucune arrière-pensées politique, çà m'étonnerait qu'il passe l'hiver."

Hey Hey amis(es) FFRiens!

Ayé, le topic du "même pô peur" touche à se fin en ce qui me concerne, je me suis bien poilé en y déposant ces p'tits messages à 2 francs 6 sous. Bien qu'un plat savoyard soit en passe de gagner notre p'tit jeu (GRRRRRR!!!!), ma vengeance sera terrrrrriiiiiiiiiiible!

A bientôt pour de nouvelles aventures! Vive la Bretagnerie (surtout celle du nord, les chapeaux ronds y sont bien plus jolis que ceux du sud!) et sortez couvert!

"Quant au mois de mars, je le dis sans aucune arrière-pensées politique, çà m'étonnerait qu'il passe l'hiver."

Je vais restée humble, ouais ouais ouais... Hummmmmmmmm, ce gout de la victoire en bouche, yepaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa, c'est Momi la plus vachement bonne, nièk!!!
Hum, j'ai donc dit, humble, hein, le looser?! Ouch, je voulais dire, heuuuuuuuu, chuis vraiment navrée pour toi, vraiment vraiment... de t'avoir tolé bien comme il faut, torché le p'tit Lu, lamentable lavette, looseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeer!

Bah ouais, ça va tout de même? Il parait que je suis joueuse, il parait?! Ouais, les défis, ça me connait, maintenant, tu feras moins le gringo, hein?!

Momi is the champion, my friends
And I'll keep on fighting - till the end
I am the champion
I am the champion
No time for losers
'Cause I am the champion, of the world....